oui, j'achète encore des disques que - pour les meilleurs d'entre eux - je fais poser sur fond de carrelage de ma salle de bain, côté fenêtre - pour la lumière. la brosse à cheveux, c'est un oubli. oui, j'achète encore des disques pour, les nuits de lumière pâle, me laisser glisser dans des contrées incertaines, peuplées d'indistincts fantômes - des vivantes et des mortes -