21h10. Encore des histoires de fantômes.
Toute la journée, j'ai fait jouer en boucle les 4 compositions du nouveau disque de Giulio Aldinucci. Même lorsque je m'absentais de la pièce et de la maison.
Lui prêtant un rôle de révélateur des fantômes présents. Combien sont-ils ? Je ne peux compter que les miens. Toi, tu compterais les tiens. Puis un autre, les siens. Puis un autre...
Après les très beaux Borders and ruins (2017) et Disappearing in a mirror (2018), avec 'No eye has an equal', Giulio Aldinucci ajoute une nouvelle pièce, sublime, à son oeuvre merveilleuse.
"(e.nglikhtonian v.ersion)"
21h10. Ghosts stories again.
All day long, I played the 4 compositions of Giulio Aldinucci's new record. On repeat. Again and again. Even when I was far away from the room and the house.
Giving it a revealing role of the presence of ghosts. How many were they ? I can only count mine. You, you would count your owns. Then for another, it will be his own ghosts. Then for another ...
After the beautiful Borders and ruins (2017) and Disappearing in a mirror (2018), with 'No eye has an equal', Giulio Aldinucci adds a new, sublime piece to his wonderful works.